#1 – Prise de contexte
Cela passe par la collecte des informations nécessaires à la création du Design Fiction : – Captation des enjeux client ; – Interrogation sur la maturité du Groupe autour des sujets d’éthique et de numérique ; – Immersion dans les problématiques métiers et outils utilisés par les collaborateurs ; – Questionnement sur les enseignements attendus en fin de mission.
#2 – Création d’un univers fictif
Pour y arriver, nous avons donc imaginé un univers fictif, ancré par des faits politiques, économiques, sociaux ou encore écologiques, sans oublier des thématiques proches de l’activité du Groupe La Poste (livraison, transport, réglementation européenne, etc.).
#3 – Rédaction et prototypage d’une fiction
La lecture « vivante » de cette histoire au moment de l’atelier permet alors aux participants de vivre une expérience sonore immersive et d’approcher certains sujets qui n’auraient pas été explorés par leurs propres créations. C’est ainsi qu’est née « JUNE », la nouvelle rédigée par l’équipe Suricats et proposée comme socle aux débats mouvants le jour J.
#4 – Construction d’un kit d’écriture
Inspiré des outils actuels ou possibles du facteur, des utilisateurs et clients du Groupe ou encore des infrastructures en place, les packages d’inspiration étaient là pour ouvrir la créativité des participants tout en cadrant les imaginations sur des problématiques propres à La Poste.
#5 – Animation de l’atelier le jour J
Une fois tout l’univers créatif construit et cadré, il ne restait plus qu’à passer à l’exercice de Design Fiction. Construit sur une journée, nous avons proposé une matinée d’écriture suivie par la lecture des nouvelles imaginées (dont « June »). Ces projections d’un futur plausible, désirables ou non, ont permis de faire émerger des idées et réflexions autour de l’utilisation du numérique et de ses conséquences éthiques ainsi que des enseignements à retenir pour la construction du projet de la DSI.
#6 – Synthèse
Toute création de Design Fiction doit se conclure par un exercice de synthèse, accompagné par une prise de recul sur les enseignements proposés en atelier. L’objectif final était de proposer à la DSI des verbatims et des convictions fortes, porteurs de sens et d’émotion, à retenir pour la roadmap éthique et numérique en construction.